Un affluent de l’chapeauroux qui voyait les saumons remonter son cours autrefois.
Des tacons y sont déversés chaque année dans l’espoir d’un retour du poisson mythique.
On y trouve une bonne population de fario à la robe magnifique et quelques ombres de souche sauvage.
La partie amont, jusqu’au pont de Braye, est le paradis du pêcheur à la mouche :
la rivière fait de méandres langoureux dans les prés, la couleur thé permet une approche plus facile.
Aux grands lisses succèdent des petits courants dessinant des vrais parcours école.
Autant cette rivière semble déserte à la période d’étiage, autant, dès qu’il y a de l’eau, elle s’anime avec de beaux spécimens.
De Auroux jusqu’à sa jonction avec le Grandrieu le Chapeauroux est plus accidenté le courant plus vif.
En dessous Laval-Atcher on touchera des poissons plus gros. Un bémol : sur les parties calmes beaucoup de chevesnes.
Toutes les photos appartiennent aux membres des Moucheurs Nîmois, si vous souhaitez les utiliser, merci de nous mettre en crédits.
Pêche mouche - montage - Truite - Ombre - rivières - étang - Nîmes - Cévennes - Lozère - Mont Aigoual - No-kill